Arrow S03E04
2 novembre 2014 Non Par Pierre Bisson[FRENCH] Arrow fête son 50e épisode. Alors est-ce qu’il faut sortir le champagne ? Pas vraiment. OK, ce n’est pas un épisode mémorable, mais ça reste un bon point pour reprendre le train en marche. Plusieurs intrigues commencent pour définir le reste de la saison.
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QUI EST LE MEURTRIER ?
Voilà la question qui conduit tout cet épisode. Nyssa Al Ghul est de retour à Starling City. Elle apprend le sort de sa compagne, Sara Lance. Suivant le code de la Ligue des Assassins, elle est prête à tout pour venger sa maitresse. Le retour de Malcom Merlyn en ville ne va pas aider. Après tout, les indices le désignent : Sara le traquait, il utilise des flèches noires (qui ont tué Canary) et il en veut à la Team Arrow et à la Ligue des Assassins. Mais le coupable idéal est-il innocent ? C’est une question qui reste en suspens même si les arguments de Malcom sont troublants.
FILLE(S) À PAPA
Nyssa Al Ghul est un personnage très charismatique. À elle seule, elle éclipse les autres héros de la Team Arrow. On se demande même si elle ne mériterait pas son propre spin-off ! Son retour marque l’introduction du grand vilain de cette saison : Ra’s Al Ghul, lui-même. Entre Malcom et Ra’s, Oliver va avoir fort affaire. Car oui, Malcom est là et compte rester en ville. Même si Oliver ne sait pas encore que Thea a repris contact (et a suivi la formation) avec son père, cette dernière compte utiliser toutes les ressources de son père pour reprendre en main sa vie. C’est amusant de voir que cette fois-ci, les choses sont retournées : c’est Thea qui a des secrets et Oliver qui lui fait une confiance aveugle. Enfin… c’est ce qu’il laisse croire.
MARIONETTE
À Hong Kong, dans le passé, Oliver est le jouet d’Amanda Waller. Il est sa main armée. OK, Oliver s’est endurci sur l’île, il a tué des « méchants », mais toujours dans le but de se défendre. J’ai un peu de mal à accepter le fait qu’il tue maintenant de sang-froid. Il fait cela pour assure la sécurité de Maseo et de sa famille. Le jeune homme se rebelle quand même et les révélations d’Amanda Waller le laisse bouche-bée. La directrice d’A.R.G.U.S est encore plus calculatrice qu’il n’y paraît. Le passé se confronte encore au « présent » et certains personnages déjà aperçus devrait croiser la route d’Ollie à Hong Kong.
Pour un 50e épisode, on s’attendait à mieux. Mais il y a du bon dans cet épisode, notamment les scènes d’actions qui sont encore très bien chorégraphiées et filmées. Les scénaristes ont été raccord en n’incluant que très peu Felicity, parti rendre visite à Barry cette semaine dans l’épisode de Flash. Par contre, messieurs les scénaristes, utilisez Roy plus adroitement. Le pauvre se fait rétamer en deux secondes et reste en retrait une bonne partie de l’épisode.
[Pierre Bisson]
À propos de l’auteur
Pierre Bisson en plus d'être l'un des rédacteurs du site comicbox.com est aussi traducteur, lettreur et maquettiste.
7 commentaires
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Mmm… Y’aurait des gens qui se disent
Oups
…se disent « tiens, je connais pas cette série, mais vu que c’est le 50ème épisode, je vais reprendre la série ici plutôt qu’au début de saison, 4 épisodes plus tôt !!
Et bien il y a des gens qui regardent la première saison d’une série (ou la deuxième) et la perdent ensuite de vue parce que pas le temps. Et ce n’est pas un mauvais signal à leur envoyer de leur dire qu’il y a des points d’entrée. Bien entendu que ca ne s’applique pas à quelqu’un qui est « up to date » pour les trois premières saisons et qui aurait intérêt à se faire une soirée arrow avec les 4 premiers. 🙂
Je veux surtout dire que si point d’entrée il doit y avoir, la logique voudrait que ce soit l’épisode 1 de la nouvelle saison…
On s’est bien compris. Et même le meilleur point d’entrée c’est le S01E1 🙂
Je n’ai pas trop accroché sur cet épisode. Le gros défaut d’Arrow est que les énigmes traînent en longueur et ça va très vite devenir lassant. Même la manière dont le père Lance est tenu à l’écart refroidit le suspense à toute vitesse.
Finalement le point positif : c’est le clin d’oeil à wildcats. Pour le reste. ça ressemble trop à un long ennui qui remue dans le vide.