100 ANS DE JACK KIRBY En regardant la série télévisée Arrow, la plupart des fans de comics ont bien sûr à l’esprit qu’il s’agit de l’adaptation d’un héros de bandes dessinées, opérationnel depuis des décennies. Ce que le plus grand nombre ignore, c’est que cette série TV est bâtie sur des éléments, sur une architecture, que l’on doit pour une grande partie à Ed Herron et Jack Kirby, le King des comics…
Sauf qu’un élément déterminant changeait la donne. Dans Adventure Comics, depuis le #250 (juillet 1958), les dessins de ce segment avaient été confiés à Jack Kirby, travaillant en collaboration avec les scénaristes Dave Wood et Ed « France » Herron. D’ailleurs ce dernier fut le scénariste le plus régulier de Green Arrow de 1945 jusqu’au début des années 60, ce qui – sans lui enlever un certain nombre de mérites – induit bien que le sursaut d’ambiance vînt du dessin et pas d’un changement de scénario. Notons quand même qu’au-delà de Green Arrow et de Jack Kirby, Adventure Comics était dans une forme exceptionnelle sur la période 1958/1959, avec des choses comme la première apparition de la Legion of Super-Heroes (#247). Pour Green Arrow, c’est la même chose. Si bien d’ailleurs que, dans ses anthologies, DC Comics considère souvent que le passage au Silver Age du personnage s’est fait avec le premier épisode illustré par Kirby (le #250, qui le confronte à une équipe d’imitateurs) [1].
Kirby étant, de nos jours, la référence que l’on sait, certains pourraient croire que c’est ce recul qui nous fait souligner ses épisodes de l’archer vert plus que ceux parus dans l’autre revue. Et pourtant non, la différence est réellement tangible. Tandis que le Green Arrow de World’s Finest expédiait les affaires courantes (parfois de manière sympathique), celui d’Adventure Comics véhiculait les thèmes chers à Kirby. Bien qu’officiellement dessinateur, ce dernier avait déjà à l’époque l’habitude de prendre les scripts que l’on lui tendait et… d’en faire ce qu’il voulait, les changeant au gré de son aspiration. Kirby avait du mal à s’en tenir au script écrit. Ce qui lui valait d’ailleurs l’inimité de certains scénaristes employés par DC, qui appréciaient assez peu de ne pas reconnaître des pans entiers de leur histoire. Les relations avec Dave Wood et France Herron, avec qui il avait déjà travaillé (Kirby avait cocréé le Red Skull avec lui, 18 ans plus tôt) étaient sans doute plus amiables. Mais il n’empêche que Kirby se comportait comme s’il n’avait pas reçu le même mémo, comme si dessiner les aventures d’une vague copie super-héroïque de Robin des Bois ne l’intéressait pas en soi. Kirby préférait dynamiter les codes. Par exemple dans Adventure Comics #252, Green Arrow et son jeune auxiliaire, Speedy, sont stupéfaits par l’apparition d’énormes missiles… mais il apparaît très vite que ce sont des flèches géantes, venues d’une autre dimension peuplée de géants, que les deux archers s’empressent de visiter. C’est juste délirant et à des années-lumière, au propre comme au figuré, de ce que proposait World’s Finest au même moment, avec un Green Arrow se contentant souvent de pourchasser de simples gangsters costumés ou autres menaces de pacotilles.
Comprenons-nous bien : La chose étonnante n’était pas en elle-même que des extra-terrestres débarquent dans les aventures de l’archer. Adventure Comics était, comme les séries liées à Batman, sous la houlette de Jack Schiff (1909-1999). Ce dernier avait un penchant naturel pour la science-fiction. Comme beaucoup de responsables de DC à l’époque, il était d’abord passé par les magazines « pulps » d’anticipation. Côté comics, il avait d’ailleurs été, une quinzaine d’années plus tôt, le co-créateur du super-héros Starman. A la fin des fifties, Schiff cherchait donner un nouveau souffle aux titres dont il avait la charge, en lorgnant de plus en plus sur une science-fiction « sage », un peu bouffonne, qui puisse déjouer la pression du Comics Code. Batman, à l’époque, croisait des extra-terrestres à la tonne… mais dans des histoires souvent ridicules, même au moment de leur parution. Kirby donnait aux menaces de Green Arrow une certaine ampleur, une étrangeté… Et cela marchait si bien d’ailleurs qu’il y a un court moment de 1959 où Kirby fini par cannibaliser tout l’espace de Green Arrow, c’est à dire ne pas se limiter au seul segment d’Aventure Comics mais dessiner également les épisodes publiés dans World’s Finest.
La somme des éléments exposés précédemment (que ce soient les impératifs de DC Comics ou le sens de la démesure de Jack Kirby) fait qu’on comprendra qu’éditeur et auteurs, au moment de cette réinvention, n’allaient pas se contenter d’une simple histoire de type se mettant un jour au tir-à-l’arc. Au contraire, Adventure Comics #256 allait se donner un contexte plus haut en couleurs, probablement inspiré au moins en partie par un récit publié quelques semaines plus tôt. Dans Adventure Comics #255 (décembre 1958), dans un épisode scénarisé par Dave Wood et déjà dessiné par Jack Kirby, l’avion utilisé par Green Arrow et Speedy s’était crashé en pleine mer. Les deux héros, coincés sur un bateau gonflable, avaient du coup dérivé jusqu’à l’île la plus proche, en théorie déserte. Une fois arrivé sur la plage, ils s’étaient cependant rendu compte qu’elle était la base de quelques soldats japonais oubliés là depuis la Seconde Guerre mondiale (la chose était inspirée de faits réels, des militaires japonais étant ainsi retrouvés jusqu’au début des années 70). Ainsi « naufragés » sur l’île, Green Arrow et Speedy étaient obligés de tenir en respect leurs assaillants jusqu’au moment où ils pouvaient attirer l’attention de la marine américaine.
Il faut croire qu’il restait quelque chose dans la « mémoire vive » de France Herron et Jack Kirby au moment de mettre en scène l’origine moderne de Green Arrow dans le numéro suivant, qui repose elle aussi sur l’idée de naufrage sur une île. L’histoire commence alors que le richissime Oliver Queen et son pupille, Roy Harper, sont chez eux, en train de regarder la télévision. Un reportage explique qu’une mission scientifique va explorer l’île de Starfish Island (ainsi nommée parce qu’elle a la forme d’une étoile de mer) pour la première fois depuis que des avions l’ont repérée. Oliver ne peut retenir une exclamation de surprise, (« Great Guns », ce qui est ironique quand on sait qu’il n’utilise justement pas d’arme à feu). Il ordonne alors à Speedy de se munir de son costume, tandis que l’adolescent se demande ce qui lui passe par la tête. Son mentor lui rétorque que s’ils n’arrivent pas à Starfish Island avant les explorateurs, son identité secrète sera éventée. On comprend mieux l’enjeu, mais reste à apprendre le « pourquoi ». Désormais habillé en super-héros, le duo prends place à bord de l’Arrowplane (l’équivalent du Batplane) tandis qu’Oliver explique : « C’est sur Starfish Island qu’est née Green Arrow ! ». Speedy répond alors par un laconique « C’est vrai… je me souviens maintenant que tu m’en avais parlé il y a longtemps ! ». On comprendra que, sur le plan narratif, Roy Harper est supposé représenter le questionnement des jeunes lecteurs. Mais si l’on doit considérer cet échange au premier degré, Speedy passe ici pour un auxiliaire pas très éveillé. Quel sidekick digne de ce nom oublierait le récit de l’origine de son mentor et répondrait par un vague « ah oui, tu m’en avais parlé il y a un bail » ? Scénaristiquement, la mémoire vague de Roy n’a d’autre but que de forcer Green Arrow à lui expliquer à voix haute le détail des événements. Lui expliquer à lui mais surtout aux lecteurs.
Maladroit mais finalement chanceux même dans sa déveine, Oliver Queen arrive donc à nager jusqu’à une ile inconnue des cartes. A partir de là, sa vie prend un peu des allures de Tom Hanks dans le film « seul au monde ». Cette fois pas de japonais oubliés depuis la guerre… Starfish Island est réellement déserte et le playboy naufragé doit apprendre à survivre seul. Dans un premier temps, il découvre une caverne qui lui servira de refuge, où il arrive à faire du feu en s’aidant de silex. Et puis il comprend que s’il veut attraper sa nourriture, il lui faut une arme. On découvrira en quelques cases que l’île est réellement dénuée de faune et qu’Oliver ne peut qu’espérer attraper que d’énormes poissons qui passent près du rivage. En toute logique il devrait, du coup, chercher à se construire une canne à pêche… devenant par conséquent, plus tard, « la Canne à pêche verte » ! C’est d’ailleurs peut-être à cela que le scénariste Alan Moore fit référence à partir de 1996 quand, occupé à pasticher l’univers DC dans des séries comme Supreme ou Judgment Day (Awesome Comics) il utilisa comme équivalent de Green Arrow un certain… Fisherman. Là où l’archer vert est connu pour ses flèches à gadgets, le Fisherman maniait lui… une canne-à-pêche bourrée d’équipements !
Vous aurez remarqué qu’en bricolant ses flèches Oliver a utilisé des éléments de ses vêtements. Autrement dit il se retrouverait nu sur l’île… s’il ne fallait pas satisfaire à l’époque la censure éditoriale du Comics Code. Aussi le naufragé/archer se conçoit de nouveaux habits à base de feuillage. Alors que le modèle apparent de Green Arrow était jusqu’ici Robin des Bois, Herron et Kirby en font alors un Robinson Crusoé de substitution. Toute la trouvaille que consiste à avoir détruit sa tenue civilisée pour alimenter ses premiers gadgets permet par la même occasion pourquoi il est spécifiquement devenu « flèche verte » : cette première version végétale de son costume (qui lui donne aussi de faux airs de Peter Pan) est tout simplement composée de feuilles… vertes ! Puis, considérant qu’il n’est pas certain qu’on le retrouve de son vivant, Oliver grave sur les parois de la caverne une sorte de journal intime qui raconte toute de lui. Comment il est arrivé sur cette île, comment il a pu survivre en s’entraînant à l’arc, comment il a créé son costume…
Une fois monté sur le pont, Oliver se sert de sa « flèche perceuse » sur un bidon d’essence. On « saluera » au passage la « présence d’esprit » de ce type qui croyait voir arriver un navire pour le sauver et qui a nagé vers lui… en prenant soin de ne pas se séparer de son arc ni de ses différentes flèches à gadgets rudimentaires. Bien joué Oliver. L’essence se répand sur le pont, le rendant glissant et impraticable. L’instant d’après Oliver se sert d’une flèche-filet pour capturer les mutins, qui de toute manière étaient incapables de marcher. L’archer continue de se remémorer : « J’ai su alors en une microseconde que ma survie sur cette île pouvait servir à quelque chose lors de mon retour à la civilisation. J’allais combattre le crime avec mes flèches truquées ! A partir de là j’allai devenir deux personnes, Oliver Queen et… ». Au capitaine, qui se demande le pourquoi de ce costume vert, de l’arc et de ces flèches spéciales, le héros répond simplement qu’il s’appelle… le Green Arrow !
Marquons un temps d’arrêt pour souligner que si vous êtes spectateur d’Arrow, c’est tout le début de la série, le fameux séjour sur l’île, qui trouve sa fondation dans ses quelques pages. S’il ne fait pas de doute que le programme de la chaine CW s’est majoritairement inspiré le comic-book Green Arrow: Year One (2007) d’Andy Diggle et Jock, celui-ci était avant tout une modernisation, en un sens une « complexification » de l’histoire de 1959. En gros, la base de départ d’Arrow est une fusion des épisodes d’Adventure Comics #255 (l’île abritant des soldats japonais, l’obligation de faire semblant de travailler avec ces militaires pour s’en tirer) et #256 (le naufrage, l’apprentissage du tir-à-l’arc, la mise au point d’un costume vert rudimentaire et même l’usage de marques noires pour déguiser son visage, plutôt que l’adoption directe d’un masque). Il ne s’agit pas de dire que les choses sont identiques (pas de Deathstroke, et pour cause, dans cette version comics) mais que clairement l’intrigue de la TV y puise de nombreux éléments.
L’Arrowplane arrive au-dessus de Starfish Island alors que la nouvelle expédition, arrivée par bateau, s’apprête à débarquer. Le temps que Green Arrow et Speedy posent leur avion sans être repérés, il est trop tard. Les marins ont déjà mis le pied à terre et s’approchent de la grotte. Mais les deux archers, cachés, remarquent de loin que les marins progressent… en maniant un compteur Geiger. En effet, des essais nucléaires se sont déroulés dans la région et l’expédition prend visiblement la peine de vérifier qu’elle ne se trouve pas sur une île irradiée où sa santé serait mise en danger. Heureusement, Green Arrow a sur lui sa flèche à… uranium factice, qui permet de simuler la présence de cette matière. Niveau utilité, la flèche à uranium factice, c’est à peu près de la même pertinence que le « Bat-repoussoir de requins »… Et on se demande bien à quoi elle peut servir d’habitude, dans l’ordinaire des aventures de Green Arrow. Mais là, elle tombe à pic. Une fois déclenchée, elle ne manque pas d’affoler le compteur Geiger de l’expédition qui, se croyant menacée, s’affole et retourne à son bateau sans demander son reste, convaincue que Starfish Island est devenue mortelle ! Restés seuls sur l’île, Green Arrow et Speedy, rassurés, ont alors tout le temps nécessaire pour détruire tranquillement les gravures comportant le secret d’Oliver. Et ainsi s’achève cette première version des origines modernes de Green Arrow… sans que les deux archers aient pris la peine de regarder si, après tout, les retombées radioactives n’ont pas réellement contaminé les alentours !
La triste ironie, l’histoire dans l’histoire, c’est que cet épisode refondateur serait la dernière aventure de Green Arrow que Jack Kirby ait dessiné dans les pages d’Adventure Comics (il en restait néanmoins un autre, publié quelques semaines plus tard dans World’s Finest #99, en février 1959). A ce moment-là, le torchon brûle en effet entre Jack Schiff et Jack Kirby, au sujet d’un tout autre projet. Quelques mois plus tôt, DC Comics a été contacté par des responsables de presse qui voudraient un strip de science-fiction. L’histoire retient qu’après que Schiff leur ait proposé d’adapter divers concepts déjà publiés par DC, les interlocuteurs n’aient rien trouvé ç leur goût. Puisque l’affaire glissait des mains de DC, puisque cela semblait perdu, Schiff aurait alors demandé à sa hiérarchie l’autorisation de « donner le plan » à l’un de leurs dessinateurs.
Disons-le, l’affaire est plutôt curieuse et biscornue. D’abord parce que DC publiait à cette époque son lot d’anthologies de science-fiction et qu’il est quand même très curieux que les clients potentiels n’aient pas trouvé la moindre petite chose digne d’intérêt. Ensuite, à défaut d’avoir quelque chose « déjà en stock » qui aurait pu être adapté en strip, on voit mal pourquoi DC n’aurait pas simplement produit une création inédite sur mesure plutôt que de refiler le bébé à l’un de ses dessinateurs. Nombreux observateurs des comics contemporains avancent (et cela paraît un scénario très réaliste) que Schiff œuvre pour que le deal avec DC capote, de manière à mieux pouvoir le proposer à l’un de ses dessinateurs. Schiff, dans ce cas-là, entend en effet toucher un intéressement sur les bénéfices.
Ces épisodes publiés début 1959 ont été produits dans les derniers mois de 1958, avant le procès Schiff/Kirby. On peut réellement se demander ce qu’aurait donné la carrière de Green Arrow sans ce « clash », avec un Jack Kirby restant plusieurs mois ou même plusieurs années de plus pour continuer de le dynamiser. On peut noter, d’ailleurs, que Schiff et ses auteurs continueront dans les mois suivants à rénover Green Arrow. Par exemple dans Adventure Comics #260 (novembre 1959), quatre numéros après cette origine, apparaît la première mention de… Star City. Auparavant, depuis les années 40, les scénaristes positionnaient Green Arrow un peu selon l’humeur du moment. Certaines histoires le fixent à Gotham, d’autres à New York. La plupart d’entre elles se déroulent dans une ville sans nom. Ce n’est qu’en 1959 qu’on pensera à donner à Green Arrow « sa » ville, tout comme Superman, Flash ou Batman avaient la leur. Et le choix se portera donc sur « Star City », nom qui semble bien éloigné de la symbolique d’un archer. Mais « STAR City » ne serait-elle pas une référence plus ou moins conscience à « STARfish Island » ?
Au bout du compte, l’origine de Green Arrow est presque, à cinq ou six comics prêts, le chant du cygne de Kirby chez le DC Comics des Fifties. Ainsi chassé par l’éditeur, l’artiste n’aurait d’autre choix que se tourner vers la concurrence et d’aller frapper à la porte de Marvel Comics, alors moribond. Généralement, on retient plus facilement du parcours de Jack Kirby ses déboires plus tardifs avec Marvel et Stan Lee. La célébrité de ce dernier fait qu’il est plus « facile », tout au moins plus « évident », de le tenir pour responsable de l’exploitation de Kirby, de s’être accaparé des choses qui revenaient au « King ». Et pourtant il faut aussi souvenir que le DC Comics des années 50 (comme dans d’autres labels) n’identifiait pas les auteurs réels. Jack Kirby, à l’époque, ne fut pas crédité pour ces épisodes de Green Arrow. Et si l’on fait la comparaison avec Marvel, Lee, s’il est loin d’être irréprochable, n’a jamais poursuivi Kirby en justice pour obtenir de lui un pourcentage pour un projet publié chez un autre éditeur. Parce qu’il est plus connu que les employeurs de Kirby dans les Fifties, Lee est une sorte de croquemitaine efficace pour masquer les responsabilités de certains autres. De même, le nom de Kirby est connu de nos jours, et c’est ce qui fait que l’on puisse réexplorer ces événements des décennies plus tard. Mais il n’était pas le seul à souffrir de telles pratiques à ce moment-là. Si ces épisodes de Green Arrow (tout comme ceux des Challengers) sont un témoignage de la créativité de Kirby dans la période 1958/1959, ils cachent aussi une triste histoire d’exploitation qui touchait tout le milieu des comics…
[Xavier Fournier]
[1] Ce repère historique n’empêche pas par ailleurs un autre curseur stylistique, près de dix ans plus tard, quand Dennis O’Neil et Neal Adams réinventèrent Oliver Queen pour lui donner plus de caractère, donnant naissance à ce qui est essentiellement le Green Arrow moderne.
[2] Aquaman, lui aussi publié dans les pages d’Adventure Comics, recevrait également une nouvelle origine dans le #260, publié quelques mois plus tard, démontrant ainsi que ces réinventions participaient à un plan d’ensemble.
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