Oldies But Goodies: Marvel Comics #1 (Nov. 1939)
4 avril 2009[FRENCH] Sauf déplacement temporel qui serait intervenu dans la nuit ou erreur de ma part nous sommes cette année en 2009, ce qui fait qu’on fête le 70ème anniversaire de Marvel. Du coup il me semble assez approprié de marquer le coup en nous intéressant au comic-book à partir duquel tout le reste à découlé, à savoir Marvel Comics #1, initialement paru en 1939.
Ouvrons les parenthèses: Une précision s’impose avant d’aller plus loin. Si Marvel Comics est bien la première BD qu’a publié l’éditeur Martin Goodman, Sub-Mariner est apparu lui un peu avant dans une revue titrée Motion Pictures Funnies Weekly (elle aussi parue en 1939). Ce n’est qu’après cette première parution que Bill Everett, le créateur du personnage, l’a proposé à Goodman qui cherchait du matériel pour remplir son Marvel Comics. Techniquement, Namor le Sub-Mariner est donc plus vieux que l’univers Marvel de quelques semaines… De toute façon ce vieux Subby n’est pas le sujet qui nous intéresse aujourd’hui. Il y a de quoi écrire bien des choses sur Marvel Comics et j’imagine donc que j’y reviendrais d’ici la fin de l’année (il nous reste encore plusieurs mois), d’où le fait que la rubrique de ce jour porte la mention 1ère Partie… Fin de la parenthèse… Non, Sub-Mariner n’est pas celui qui nous intéresse aujourd’hui mais bien le héros que Goodman et son équipe avaient choisis de mettre en évidence, lui donnant non seulement la couverture mais aussi la première place dans le magazine : le Human Torch originel. Certes, la Torche Humaine n’est pas le personnage le plus inconnu de Marvel (même si nous parlons ici de la version première, pas de son successeur apparu ensuite au sein des Quatre Fantastiques) et les débuts que nous allons observer ici sont familiers de beaucoup de lecteurs. Encore qu’il y a quelques particularités et questions qui deviennent apparentes si on s’intéresse aux détails. Des questions qui n’ont pas toutes trouvé des réponses dans les 70 années suivantes.
D’abord faisons une petite pause pour observer la couverture, montrant la créature enflammée à l’œuvre. Sans doute qu’il y avait une inspiration au moins partielle d’un héros nommé The Flame (créé par Will Eisner et Lou Fine quelques mois auparavant). The Flame était un héros qui avait été élevé au Tibet et qui y avait appris différentes disciplines mystiques lui permettant de contrôler le feu (de manière pas toujours cohérente dans les histoires). Physiquement, Human Torch ne lui ressemble pas tellement. En terme d’histoire non plus (on verra cela d’ici quelques lignes). Et au niveau des pouvoirs c’est également discutable puisque The Flame avait des capacités incohérentes d’un récit à un autre. Par moment on a l’impression qu’il n’a aucun pouvoir propre et que son surnom lui vient du pistolet lance-flammes qu’il porte.. Mais d’autres fois il est entouré d’un halo de flammes ou peut se téléporter partout là où il y a une flamme… Le Human Torch est moins versatile mais on y viendra. Je disais donc… regardons cette couverture où il avait visiblement été décidé de mettre en exergue le côté inhumain d’Human Torch, avec des traits exagérés qui font qu’on a presque l’impression de regarder une version enflammée de Sub-Mariner (ou du Joker, mais c’est bien sûr impossible puisque le Joker n’existait pas en 1939) qu’autre chose. A l’intérieur, le héros de feu aurait une apparence assez différente. Il faut dire que la couverture n’est pas du même auteur. Elle est l’œuvre de Frank Paul, qui soit avait été mal briefé (et avait peut-être même confondu deux des protagonistes de la revue) soit avait travaillé d’après un dessin de préparation du personnage qui n’était plus d’actualité. Quoi qu’il en soit, la couverture nous propose un Human Torch ricanant (avec de grands sourcils et un front évasé) qu’on ne reverra plus jamais de la sorte…
Non, le créateur de Human Torch n’est pas Frank Paul mais bien le scénariste/dessinateur Carl Burgos. Il faut dire ce qui est, Burgos n’était pas l’un des meilleurs artistes du moment mais en définitive c’est quand même à lui que reviendra l’honneur de publier ce qui est finalement la première page d’un récit officiellement estampillé Marvel Comics. Dans cette page, le Professeur Horton convoque la presse pour leur faire part de l’avancée de ses travaux. Apparemment, il y a eu des conférences de presse précédentes (bien plus tard Geoff Johns se servira de ce détail pour rajouter une sorte de « préquelle » et montrer une première présentation d’Horton pendant la Foire Universelle de 1939). Les journalistes n’ignorent donc rien du projet d’Horton un homme synthétique (qu’il désigne aussi parfois tout simplement sous le terme de « robot » bien que dans ces premiers épisodes il n’y aucune trace que l’homme synthétique ait des composants mécaniques et qu’il soit un « robot » au sens classique). Ici, il convient d’insister sur un point. Dans certaines versions modernes de l’origine du robot, les flashbacks montrent parfois les journalistes réagissant de manière incrédule ou se moquant d’Horton. Dans la version première, ce n’est pas du tout le cas, il est pris très au sérieux et j’imagine que le professeur a sans doute une certaine réputation. Mais sur quoi ? Quels étaient les réussites d’Horton avant de se lancer dans la construction de son homme synthétique ? Rien ne vient le détailler dans cet épisode initial. De toute façon Horton ne les a pas fait venir pour parler « réussite » mais plutôt « échec ». Il leur montre sans perdre sa création, qu’il a surnommé « Human Torch » (la Torche Humaine) parce qu’elle a un gros défaut de conception : à chaque fois que l’homme synthétique entre en contact avec l’air, il s’enflamme spontanément.
Les journalistes réagissent toujours très sérieusement et conjurent alors Horton de détruire sa création, qu’ils jugent trop dangereuse pour qu’on la laisse exister. Ah, quel dommage que ces journalistes-là n’aient pas assistés aux premiers tests sur la dynamite ou sur la bombe atomique. Parce que si effectivement le « robot » s’enflamme, il ne fait pas mine de bouger ou d’être animé de la moindre vie propre. Il n’est donc pas plus dangereux, à ce stade, qu’un fut où un jardinier brulerait quelques déchets… Horton leur répond qu’il n’a pas prévu de détruire Human Torch, que ça ne résoudrait rien (en un sens il n’a pas tort, ce qui a été inventé par un homme peut être redécouvert par un autre). Mais les journalistes commencent alors une campagne de presse dans laquelle ils parlent de l’existence d’Human Torch (et bien que rien ne le dise, on en déduira que leurs articles ne sont pas vraiment positifs). Mais il faut dire aussi qu’on se demande ce que cherchait le professeur en faisant une conférence de presse pour leur parler d’un projet dont il n’était pas content et pour lequel il cherchait encore une solution.
Tandis qu’Horton lit les journaux, le téléphone sonne. C’est la Guilde des Scientifiques qui lui propose son aide. Rapidement rendez-vous est prit et trois hommes se présentent chez Horton. Je me souviens que la première que j’ai lu ce récit je m’attendais à ce que la Scientists’ Guild ne soit qu’une façade pour pour des saboteurs pseudo-nazis ou bien des gangsters désireux de s’emparer de l’invention mais non. Ce groupe de scientifiques s’intéresse pour de bon à l’invention d’Horton et tente de l’aider pendant quelques cases (ce qui est une digression sacrément importante à l’heure où les récits des comics étaient très courts). Finalement leur aide n’est cependant d’aucun secours à Horton qui doit se résoudre à enterrer son invention dans une sorte de tombe hermétique en béton… Ce qui est intéressant dans la scène avec la Guilde c’est qu’elle instaure d’emblée dans l’univers Marvel une organisation de scientifiques veillant sur ce genre d’invention « hors-norme » et qu’on ne nous en reparlera plus jamais après cette scène. Dans un contexte où les conspirations sont fréquentes et où on n’arrête pas de nous retrouver des machinations passées, cette Guilde est captivante car elle peut essentiellement tout être. Soit il s’agît effectivement de savants désintéressés au service du bien public et alors on peut imaginer que ces trois hommes sont peut-être d’autres « professeurs » qu’on a revu ensuite dans d’autres comics de Marvel, voir que la Scientist’s Guild pourrait être une toile de fond unissant tous les projets scientifiques (Operation Rebirth, Weapon X, Human Torch…). Ou bien la Guilde n’est en fait composée que de savants qui voulaient observer de près le robot pour pouvoir en copier la technologie (et les trois savants pourraient alors tout aussi bien être l’Enclave, des ennemis des Fantastiques). Plus simplement la Guilde pourrait être en fait les différents personnages qu’on a retrouvé ensuite dans l’univers Marvel se ventant d’avoir été des assistants dans la création d’Human Torch (je pense en particulier au Doctor Death/Nemesis vu dans Invaders puis plus récemment dans les titres mutants). Bref, cette Guilde dont on ne nous a jamais reparlé, c’est une véritable boîte de Pandore qui attend qu’on l’a rouvre depuis 70 ans…
La guilde disparaît pourtant de l’histoire et plusieurs mois s’écoulent, au point que « tout le monde oublie l’homme de feu » qu’on a donc enterré dans un bloc de béton gros comme un camion, dans le jardin d’Horton. Mais un soir une explosion ravage la propriété et Horton, se mettant à sa fenêtre, constate la destruction de « la tombe d’Human Torch ». Plus tard il théorise qu’une fissure s’est produite et que le bloc n’était sans doute pas si étanche que ça. Human Torch s’est enflammé… et s’est enfui…
On retrouve le personnage en feu, courant dans les rues et semant une belle panique. C’est la première fois qu’on le voit bouger… et surtout parler. Car il est comme un enfant et s’interroge, se demandant pourquoi dès qu’il touche quelque chose il le brûle. Human Torch n’a donc pas conscience de sa propre nature (on peut le comparer un peu au Frankenstein tel que joué par Boris Karloff, avec les pulsions meurtrières en moins). Des pompiers ne tardent pas à arriver mais Human Torch ne comprend pas ce qui se passe. Quand il écoute des sirènes, il trouve juste le bruit amusant. Et quand les hommes tentent de l’éteindre en utilisant des lances à incendie, ça le chatouille, tout au plus. Mais finalement – on se sait pas trop pourquoi ou comment – Human Torch réalise qu’il a causé bien trop de dégâts comme ça. Il se jette dans la première piscine venue, en tentant d’éteindre sa flamme.
Il se trouve que la piscine est située dans le jardin du gangster Sardo. Voyant qu’il y a le feu dans le bassin, Sardo comprend immédiatement qu’il s’agit d’Human Torch, celui dont tous les journaux parlent. Il ordonne alors à ses hommes de rabattre le couvercle transparent qui protège la piscine pendant l’hiver et de faire le vide à l’intérieur (c’est apparemment toujours pratique quand on est gangster d’avoir une piscine dont on peu retirer l’air, ne me demandez pas pourquoi). Désormais, Human Torch est son prisonnier et Sardo lance alors une opération de racket. Il va voir des industriels en les menaçant que leurs installations soient détruites s’ils ne le payent pas. Malheureusement il n’est pas pris au sérieux. Sardo décide donc de faire un exemple. Il transvase Human Torch dans une sorte de grande éprouvette à sa taille et le transporte ainsi jusqu’au local à détruire. Puis quand tout est en place, Sardo lance un poids dans la vitre de l’éprouvette. Human Torch est donc à nouveau exposé à l’air et s’enflamme sans le vouloir. Le robot, toujours assez innocent, ne comprends pas bien ce qui se passe. Lui pensait que Sardo allait chercher à l’aider… Tout à coup il réalise… Sardo ne serait-il pas qu’un racketteur ? Ne me demandez pas comment un robot qui ne sait pas ce que c’est qu’une sirène de pompiers sait ce qu’est un racketteur… Human Torch décide donc d’arrêter Sardo. Il en va de sa responsabilité désormais.
Et là, pour la première fois le robot fait usage de sa capacité à voler. Ou plutôt de sauter. A l’époque Human Torch ne vole pas, il saute avec des bons gigantesques car il combine ses flammes rouges avec ses flammes bleues, qui ont pour particularité de le rendre plus léger que l’air. Pardon ? Quelles flammes bleues ? L’épisode ne montre aucune flamme bleue. Probablement que Carl Burgos avait prévu dans son scénario qu’Human Torch pourrait changer de couleur. Mais à l’époque les instructions de colorisation à l’attention de l’imprimeur étaient rudimentaires. Le scénario parle donc de flammes bleues… mais elles n’existent pas dans les images…
Human Torch retourne chez Sardo et commence à le traquer. Celui se cache dans son labo souterrain, qui peut résister aux flammes. La Torche ne le trouve pas et brûle donc la maison en surface (Sardo, lui, est au sous-sol et ne risque rien). Observant qu’un des hommes de Sardo s’est caché sous une voiture, Human Torch bondit sur l’engin et le fait fondre tandis que le gangster, coincé dessous, hurle à l’aide. Visiblement le robot n’a alors pas grande considération pour la vie humaine, dès lors qu’il s’agit de quelqu’un de peu méritant. Human Torch trouve ensuite le chemin du labo de Sardo et descend le combattre malgré le fait que les pompiers viennent d’arriver. Le chef des pompiers tire sur Human Torch avec un pistolet (je ne sais pas pourquoi il a un revolver ce pompier) mais le corps du robot est tellement chaud que la balle fond avant de le toucher. Horton est là aussi (on ne sait pas pourquoi et comment il appris que son invention est dans les parages) et aide les pompiers, se ruant pour essayer d’arracher au feu une bombonne de nitrogène (ou autrement dit de l’azote). Human Torch le prend cependant de justesse et c’est lui qui tente d’écarter la bombonne… Elle éclate pourtant et l’explosion souffle assez la flamme pour qu’on voit un bref instant le robot sous son apparence humaine (sans le feu, donc). Au passage on notera que dans les premier temps le Human Torch de l’Age d’Or portait non pas un costume rouge (comme on le représente le plus souvent aujourd’hui) mais bien une tenue bleue (qui préfigure un peu l’aspect de la Torche Humaine des Fantastiques)/ Horton est médusé…
Sans perdre de temps et toujours sous son aspect humain, le robot est redescendu affronter Sardo. Il lui faut bien vite s’enflammer à nouveau et on commence à réaliser que petit à petit Human Torch est de plus en plus à l’aise avec ses pouvoirs. Sardo est convaincu qu’il veut le tuer et tente de se défendre en lui jetant une bouteille d’acide sulfurique (je ne sais d’ailleurs pas si Human Torch y est sensible ou pas). Mais la bouteille explose avant de toucher le robot et Sardo est tué par la déflagration.
Human Torch attrape une dernière bouteille de nitrogène puisqu’à l’évidence c’est la seule chose qui peut l’aider à contrôler sa flamme. Le professeur arrive en disant avoir entendu l’explosion et l’homme synthétique répond « Un rat a fait justice de lui-même, Horton ». Ce qui est bizarre car souvenons-nous pour ce qu’on en sait le robot n’a jamais été conscient en présence de son inventeur. Il ne devrait donc pas pouvoir le reconnaître, encore moins connaître son nom. Qu’importe : de toute manière Human Torch s’envole avec le nitrogène et s’entraîne en quelque sorte à l’écart. Finalement il arrive à copier par lui-même les effets du nitrogène et donc à contrôler ses flammes, découvrant qu’il peut aussi jeter des boules de feu s’il le souhaite. Désormais le robot est donc maître de son destin. Il marche dans les rues (en mode enflammé) et fini par attirer l’attention de la police, qui tente de l’arrêter. Mais là, il peut leur prouver qu’il peut « s’éteindre » à volonté et ne représente plus aucun danger. Reste les dégâts qu’il a déjà causé. Placidement, Human Torch est mené devant le commissaire-en-chef qui décrète que de toute façon aucune prison ne pourrait arrêter la Torche. Il ferait fondre les barreaux… Finalement la seule solution qui s’impose, c’est de laisser la garde du robot au Professeur Horton, qui accepte d’être en quelque sorte son « tuteur légal ».
Mais l’accord est de courte durée. Quand Horton et son robot rentrent à la maison, Human Torch fait une démonstration de ses pouvoirs au savant. Surpris, ce dernier pense aux dérivés possibles et laisse échapper « Nous pourrions nous faire une fortune… ». Le robot est dégoûté : « Alors même toi tu a pensé à l’idée de faire fortune avec moi, Horton ? Non, je serais libre. Personne ne pourra m’utiliser pour des gains personnels ou pour commettre un crime ». Et avant qu’Horton ne puisse en dire plus, Human Torch s’élève comme une comète dans le ciel, désormais personnage solitaire mettant ses capacités au service du bien. Techniquement, bien sûr, Human Torch vient d’échapper à la garde de son créateur, ce qui va donc à l’encontre de l’accord passé au commissariat et fait de lui un fuyard. Mais par la suite les épisodes suivants révéleront que Horton est mort (de culpabilité pour avoir détourné de lui sa propre création ?), ce qui fait que légalement l’accord est sans doute caduque et que les forces de l’ordre pensent sans doute que la Torche est restée avec lui jusqu’à son trépas (*). Peu importe les formalités, Human Torch était désormais lancé et resterait l’un des principaux super-héros de Timely/Marvel jusque dans les années 50. Longtemps après, Carl Burgos brûlerait ses planches d’Human Torch (l’anecdote est rapportée de façon assez poignante dans une interview de sa fille parue dans Alter Ego), dégoûté de constater que Stan Lee et Jack Kirby avaient pillé son idée pour en faire le Johnny Storm des Fantastic Four.
[Xavier Fournier](*) Dans les années 70, quand il a été révélé que la Vision était une version modifiée d’Human Torch, on revit pourtant Horton bien vivant mais plus vieux (logique) qui semblait trouver la mort après avoir résisté à Ultron. Pourtant dans les années 80, on revit une nouvelle fois Horton vivant (à l’époque où John Byrne écrivait West Coast Avengers). Pour les années 80, il apparait que c’était un imposteur, un Space Phantom à la solde d’Immortus, mais rien n’est jamais venu expliquer comment Human Torch pouvait se retrouver « orphelin » en 1939-40 puis recroiser plus tard (toujours dans les années 40) son créateur bien vivant. Il y a donc quelque chose de pas très clair dans la chronologie du bonhomme…
Torch est un androide ou synthésoide!
Pas dans Marvel Comics #1. La terminologie initiale a été conservée de manière volontaire pour montrer le contraste. C’est ensuite, seulement dans les années 60, que ce genre de vocabulaire lui a été appliqué.
Je viens de relire cet épisode dans un « Golden age of Marvel » .Effectivement , méme avec le recul…….c’est truffé d’incohérences! ( ses cheveux changent de couleur d’une casse a l’autre..etc) lol . Merci a nouveau .
Très bon article, complet comme toujours avec Xavier Fournier!
Un petite rectification : nitrogen se traduit par azote.
En fait « Azote » tout comme « Nitrogène » se disent en français. Azote est simplement beaucoup plus employé. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Azote). Ayant le choix, j’ai pris le mot le plus proche de l’anglais puisqu’il cadrait avec le texte initial. D’où la mention « nitrogène (ou autrement dit de l’azote) » que vous avez pu lire dans l’article.
« (de manière pas toujours dans les histoires). » :/ bizarre cette phrase, il manquerait pas un mot ?
et le « gibet » ça serai pas le Tibet par hasard ?
« cohérente ». il manque « cohérente ». Ce qui fait « de manière pas toujours cohérente ». C’était dans mon fichier texte mais ça a du se perdre au moment de placer les images dans le texte. Je le rajoute et au passage gibet devint Tibet, pour ne pas laisser place au hasard ;-)…
Plus d’informations sur Horton : http://www.marvel-world.com/encyclopedie-1187-fiche-horton-phineas.html