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Ollie a été arrêté après que l’inspecteur Lance l’ait vu sur des caméras de surveillance, un arc et une cagoule à la main. Des preuves incontestables, selon lui. Oliver demande à Laurel d’être son avocate. Elle accepte même si elle a un peu de mal à trouver des arguments face aux preuves de son père. Dans le même temps, un des criminels du carnet de notre héros s’apprête à conclure une grosse vente d’armes automatiques pour les trafiquants de la rues. Arrow va devoir « se dédoubler » pour déjouer ses geôliers et arrêter les criminels.
Contrairement à ce que laisser penser les images promo de l’épisode, Deathstroke n’est pas le grand vilain de l’épisode. Le nemesis principal de Oliver/Arrow est sans aucun doute l’inspecteur Lance. Ce dernier en veut d’abord à Ollie qu’il rend responsable de la mort de sa fille aînée, Sarah (disparue lors du naufrage) et d’un autre côté, il veut à tout prix arrêter le justicier masqué. Alors quand l’opportunité d’arrêter les deux se produit, il n’hésite pas. L’excuse d’Oliver pour justifier sa présence sur la vidéo de surveillance est un peu risible… Mais semble marcher !
Deathstroke est cependant bien présent dans cet épisode. Il est présenté comme un mercenaire, spécialiste de la torture. Il n’apparaît ici que dans les séquences de flashback sur l’île. Fidèle à son homologue des comics, il sait se battre, manie l’épée comme un pro… mais il ne dit pas un mot !! À croire que les créateurs ont voulu faire plaisir aux fans des comics et espèrent signer un acteur plus prestigieux pour le démasquer et lui donner de l’importance. Affaire à suivre…
Nous l’avons déjà évoqué mais cette série est bourrée de références à l’univers DC. Par exemple, quand durant la soirée déguisée, Laurel se remémore son dernier déguisement avec les bas résille, ça évoque le célèbre costume de Black Canary, l’alter-ego de Laurel dans la bande-dessinée. On ne peut pas passer à côté de la comparaison de Oliver avec Bruce Wayne. Cette histoire le prouve encore une fois : ainsi Ollie a toujours un plan de survie et est paré à toute éventualité. Il a été pris sur une caméra ? Pas de problème, il a un plan au cas où ça arriverait. D’ailleurs, n’était-ce pas son plan initial dès le début et ainsi détourner les soupçons à l’avenir ? Le dialogue entre le héros et Diggle où il évoque « les incroyables jouets des justiciers milliardaires » fait également référence à Batman et à la phrase du Joker dans le film éponyme de Burton.
Un épisode efficace qui montre que même si son héros costumé est peu présent à l’écran, la série reste intéressante. Mais on reste un peu sur sa faim après avoir vu Deathstroke pour la première fois…
[Pierre Bisson]
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